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Quand le clavier dérape - 3

27/9/2016

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Dis, Lecteur/trice, c’est moi ou plus tu prends ton temps, plus le concept de la faille temporelle a tendance à s’étendre façon Bourgogne sur la nappe blanche ? Parce que je ne te cache pas, tout de même, m’être imaginée poster dix ou quinze jours après mon dernier post, quelque chose comme ça. No stress, d’accord, mais Robert a toujours besoin d’un minimum de planification, faudrait pas me le brusquer trop sous peine d’accident de sevrage.
Et boum, trois semaines. Si si si. Trois semaines, dix degrés en moins et un paquet de feuilles mortes, un changement de saison et une pile entière de joyeusetés qui se profilent à l’horizon, sans ironie aucune puisque je parle de soirées cocooning bien au chaud, de promenades sous les arbres qui rougissent et cerise sur le planning, de remettre la main sur les boules de Noël. Si tu restes insensible face à tout ça, Lecteur/trice, sache que j’admire ton stoïcisme, personnellement je frétille comment un poisson dans de l’Orangina.
Mais bref, trêve de confessions, tout ça pour dire que le temps a filé comme un iPhone dans la cuvette jusqu’à ce que je retombe sur ma collection de coquilles. Tu sais, celles que je compile à chaque fois que Robert le neurone quitte son poste et laisse mes doigts swinguer en roue libre sur le clavier ? Là, j’ai réalisé que ça faisait trois semaines et que je te livrerais bien un nouvel épisode de délirium clavium, comme ça, juste pour le plaisir de partir en vrille le temps d’un post.
A très vite, Lecteur/trice, moi, j’ai un bonhomme de feuilles mortes à construire. 
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L’apertitif
Quand Néfertiti prend l’apéritif, on sert du scarabée roulé et du smoothie de roseau, autant te dire que ça swingue sévère sous la pyramide. Ça s’appelle un apertitif, c’est autrement plus classe que le combo Pastis et roulé saucisse, et si tu tombes dans un bon jour, tu peux même faire tomber la toge pour te faire masser par le goûteur.
 
Le poilon
Tu connais le pilon, cet instrument ultrasophistiqué qui concasse de la noisette en mode gourdin préhistorique ? Alors tu vas bien visualiser le poilon, également nommé le pilon ultime. Deux mètres de haut, 50 cm de diamètre, taillé dans un poil de Jupiter perdu lors de sa dernière chasse à la nymphette, ça te concasse du baobab en trois poussées.
 
Les keufs
Mais quel est donc le problème avec les keufs, me diras-tu ? Aucun, sauf quand tu les ajoutes à une pâte à gâteau à la place des œufs. Le képi se mixe très mal et je ne te cache pas que la recette des keufs à la diable, bien que tentante, coûte cher en amendes. Pardon, en amandes.
 
Les chapeaux de roux
Démarrer sur les chapeaux de roue, fastoche, le pied sur l’accélérateur et fonce titine. Mais démarrer sur les chapeaux de roux, laisse-moi te dire que le challenge est sacrément plus ardu, rapport au fait d’amener la voiture sur le béret de deux rouquins rarement coopératifs.
 
En fion de journée
Toutes mes excuses, Robert a parfois le sens de l’humour ras-les-pâquerettes. Étant malheureusement l’hôte dudit neurone décadent, je dois t’avouer étouffer encore deux ou trois hoquets de rire en me disant que j’ai failli souhaiter une bonne fion de journée à un client, même si techniquement, on aura beau dire, l’expression n’est pas totalement volée : l’apéritif de fin de journée, ça fait toujours du bien par où ça passe, et ça finit forcément par… bref. Couché, Robert.
 
L’apéritof
Troisième fois que je te parle apéritif, je sais, c’est grave. Mais franchement, tu le visualises, l’aperitof ? C’est la version 2016 de l’apéritif, tu immortalises chaque gorgée à bout de bras avec ton smartphone, voire ta tablette si tu es joueur, voire ton ordinateur portable si tu es ouf. Tu ne sais pas ce que tu bois et tu finis avec le décolleté hydraté au Martini, vu qu’il est très complexe de viser le gosier via l’image d’un écran de portable, mais c’est soooooo tendance sur les réseaux sociaux, hashtag aperitof.
 
Faire livrer des sœurs
Oui, là, je crois que ce cher Robert nous a pondu un winner, dans le genre coquille qui dérape. Parce que vraiment, j’aimerais bien voir, de mes yeux, la tête d’Anastasia qui au lieu de se faire livrer des fleurs par son Grey, désolé d’avoir forcé sur la cravache, se fait livrer des sœurs, un joli bouquet de demoiselles vaguement perplexes. Avec au choix, l’option sœurs fraîchement coupées, florissantes et épanouies, ou l’options sœurs de la veille, moins chères mais un brin fripées et sacrément plus épineuses. De là à visualiser cette chère Anastasia, assaillie par les épines vengeresses d'un bouquet de sœurs, furieuses d’avoir été arrachées à leur série préférée pour compenser l'enthousiasme de Christian à la cravache, ne subsiste qu’un pas que je ne franchirai pas. Pas à voix haute, en tous cas.
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Quand le clavier dérape - 2

30/11/2015

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Cher Lecteur/trice, te souviens-tu de Robert le neurone, le glandu qui va faire sa pause pipi sans prévenir les collègues et qui laisse mes dix doigts en mode overdose de Champomy sur le clavier ? Si tu te demandes de quoi je cause, tu retrouveras la genèse de Robert le neurone ici. Sinon, tu me vois ravie de t’offrir le tome culinaire de ses exploits linguistiques.
Désolée pour le délire, mais je viens de passer deux jours à triturer des boules de Noël, ça attaque.
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Motarde
Oui, ça veut dire quelque chose, sauf quand tu parles de tarte à la motarde. Tarte pour laquelle le découpage est, certes, moins facile rapport au cuir, d'autant que les clous des bottes sont rarement très digestes. Mais dans laquelle si tu as du bol, tu trouves la fève et tu sors le string de la motarde, ça porte bonheur.

Sirpo
Robert le neurone n’aime pas le sirop. Une fois, ça arrive, mais quand c’est systématique, on sait ce que ça veut dire : Robert s’exprime. Or quand Robert persiste à taper sirpo pour la toux, sirpo d’érable ou sirpo de canne, j’ai envie de lui dire Robert, tu crains de la synapse, à transformer d’une lettre un nectar sirupeux en venin qui serpente.

Grains de raison
Parce qu’une grappe de raisin n’est d’aucune utilité quand tu es en arrêt devant ta poêle à feu vif, à te demander, l’espace d’une seconde, si tu n’aurais pas moyen de berner les 110°C de la poignée en métal pour éviter d’aller chercher un gant de cuisine trois mètres plus loin, en utilisant vite fait ta manche de tee-shirt. À l’inverse, avec une bonne poignée de grains de raison, non seulement tu réalises à quel point la brûlure au troisième degré est un plaisir surfait, mais en plus, tu accroches le gant à côté de la poêle pour la prochaine fois. Disponible en grappes de 10, 50 et 100. 

Les produits cosmetibles
Attention, millions en vue : la cosmétique comestible sauve des vies. Le produit cosmetible regroupe ration de survie et gloss glamour, pour rester sexy et en vie en cas de crash aérien dans les Andes. Tu manges ton gloss, tu tiens deux mois sans ronger le premier lama qui passe et tu emballes le sauveteur en hélico à la sortie. Si ça, c'est pas du concept révolutionnaire...

Cacachuètes 
Je ne sais pas pour toi, Lecteur/trice, mais cacahuète est déjà, personnellement, un mot qui m’enchante. Sans doute les séquelles de la comptine, la jouissance de la syllabe répétée, ou peut-être la passion de Robert pour les métaphores des bijoux de famille. Tu comprends donc bien que je n’y suis pour rien, si Robert hurle de rire à chaque fois qu’il écrit cacachuète.

Poitreaux 
Un poitrail, des poitreaux. Et je te garantis que ta tarte aux poitreaux va bluffer les invités, tant que tu penses à bien retirer les tétons.  

Bourson 
Déjà le Boursin, fallait l’oser. Mais le Bourson, ça vaut son pesant de cacachuètes, et note bien que tu peux l’interpréter, au choix, comme une bourse d’ourson (charmant petit porte-monnaie en aumônière avec lequel Winnie va acheter son pot de miel) ou des bourses d’ourson (ce que Bourriquet utilise comme balle anti-stress quand Winnie finit le pot de miel en douce).
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Quand le clavier derape - 1

14/9/2015

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Cher Lecteur/trice, deux choses. Tout d’abord, je suis au regret de t’annoncer qu’il n’y aura pas de post la semaine prochaine, rapport au fait que je pars en congés en fin de semaine, que je suis une fille très optimiste qui avait prévu de préparer un post d’avance pour dissimuler l’air de rien son absence, mais aussi une fille qui travaille en freelance et dont la version des congés payés consiste à faire des semaines de 70 heures avant de partir, histoire de compenser.

Donc en gros, j’ai encore vu des arc-en-ciel à la place des nuages et j’en suis à considérer la pause pipi comme un luxe, je ne pourrai donc pas préparer ce fameux post. D’où le lundi sans post. Oui, je sais, autoflagellation avec mes lacets, privation d’Oasis et tout le toutim. Mais un seul lundi, quand même, je peux prendre l’apéro avant de partir ?

Sinon, pour aujourd’hui, je te présente un nouveau délire tout droit sorti de mes neurones boiteux. En tant que freelance, vois-tu, je passe mes journées à taper sur mon clavier. Et quand tu tapes sur ton clavier, tu le sais bien, il y a des fois où tes doigts semblent mus d’une vie propre, d’où l’importance, que dis-je, l’obligation absolue de se relire en toute occasion, si tu ne veux pas féliciter un pote pour une soirée qui restera dans les anales.

Bon. Tu l’auras compris, je te parle de faute de frappe. Sauf que parfois, vu que je suis, aussi, une fille très autonome, je du coup, je les compile. Et pire, je leur donne un sens. Je dois donc être un peu maso, ou n’avoir aucune illusion quant à ma célébrité future et le fait que quelqu’un, un jour, me fasse chanter avec lesdits délires, puisque je vais de ce pas t’exposer une fois de plus les tortueux méandres de mon cerveau. Par avance, pardon, et rendez-vous le lundi 28, Lecteur/trice.


Petit précis des fautes de frappe
La salade de pâtres 
Parce que la salade de pâtes, tu connais. Mais la salade de pâtres, tu as tenté ? Une ribambelle de beaux gosses en peau de mouton et en vinaigrette, prêt à te conter fleurette avec leur flutiau au coin d’un quartier de tomate ?

Pupleuse
Parce que je suis incapable de taper « pulpeux », « pulpe » ou « pulpeuse ». Je tape pupleux, puple ou pupleuse, et si j’étais psy, je te dirais qu’au fond, j’estime que le peuple réclame de la puple, de la chair, de la courbe et de la forme, vive les pupleuses. Heureusement, je ne suis pas psy.

Montepellier
Parce que tu ne savais pas que la ville n’avait rien à voir avec un mont quelconque. Non, les Pellier, c’étaient les pâtres qui habitaient dans le sentier du haut, au fond à droite après le buisson de ronces. Forcément, on montait chez les Pellier. Et à force de crier, de loin, entre les moutons « m’man, je monte chez les Pellier », ça a donné Montpellier, anciennement nommé Montepellier, devenu village, puis ville, à mesure que les pâtres se reproduisaient.

Pratrique 
Parce que parfois, quand un truc est pratique, c’est tellement grandiose que ça te file la trique. Pardon pour la vulgarité, mais moi « pratrique », ça me fait hurler de rire. Je sais, c’est grave.

Un poignon rouge 
Parce que la salade de poignon, c’est quand même sacrément plus sympa qu’une salade d’oignon, hein. Certes, c’est moins digeste, mais si tu as vraiment une salade de poignon, tu as les moyens de te racheter un estomac.

Berretave 
Parce que face de betterave, c’était drôle, mais que face de berretave, ça sonne tout de suite comme du quolibet de compèt. Moi, tu me dis berretave, je te réponds toi-même, tronche de crougette et derche de bautergine.

Enterrement de vie de jeune bille 
Là, je suis désolée, mais tu dois bien t’incliner devant la pertinence du lapsus. Qui est quand même bien plus sympathique que mon précédent lapsus, où j’avais tapé « enterrement de jeune fille », et où je me suis dit que parfois, les mots sauvent des vies.

Les Fonds de Cocaïne 
Parce qu’il existe une adresse, à Maurepas dans les Yvelines, étrangement nommée les Fonds de Cocane. Et que quand tu arrives sur GoogleMaps sans lunettes, je te jure que tu te demandes qui a sniffé sa carte routière avant de nommer le schmilblick.

Cocolat 
Parce que plus c’est régressif, plus c’est bon, et que les cookies au cocolat, c’est une fournée de Prozac sans effets secondaires. Autres que la ceinture du jean qui rétrécit, s’entend.

Encraissé 
Parce qu’un village encaissé, on connait, mais qu’un village encraissé, c’est un monde merveilleux dans lequel on ne mange que du cras sans jamais crossir. Les maisons sont en Curly et les toits en Petit beurre, on y prend des bains de beurre de cacahuète et on est cras, pas cros. C’est un village dodu et heureux, le village encraissé.

Acrotte 
Parce que les carottes, c’est so 2015. En 2016, une bonne purée d'acrottes, y a que ça de vrai. 

Majotitairement 
Comme quoi l’armée de libération du téton investit même les plus rabat-joie des mots. Free the niples, tits on the wind, le majotitairement fait l’unanimité côté téton. Tu ne comprends pas ? C’est simple, le code est purement féminin mais planétaire. Quand on t’explique que Ryan Reynolds est majotitairement canon, ça signifie que tous les tétons du monde froncent le nez sur son passage, et que la gente masculine n’en a pas la moindre idée.

Poublier
Parce que parfois, la presse pourrait vraiment faire usage d’un mot pareil. Quand tu publies un papier poubelle à oublier, tu ne publies pas, tu poublies. Il devrait rester dans les annales, celui-ci (avec deux "n").

Cramaeuse 

Oui, non mais quand même. Parce que même moi, il m’a fallu quelques secondes pour retrouver le mot que j’avais voulu taper. Pour info, c’était charmeuse, ce qui m’amène à penser que parfois, la haut, Robert le neurone va faire sa pause pipi en oubliant de passer le relais à un Jean-Jacques. Il fait pipi très vite, heureusement, mais pendant ce temps, Robert ne refile plus aux doigts les  directives du cortex, c'est la teuf de l'index et du majeur qui dit fuck au clavier comme au bon sens. Et puis Robert revient, et Jean-Jacques lui passe un savon, mais Robert s'en tape, il a la vessie toute légère, du coup ça le fait rire. Et voilà. Tu sais maintenant pourquoi les fautes de frappe les plus débiles me font mourir de rire: Robert le neurone a la vessie vidée.
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