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La Fuck Card

29/1/2014

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        Pinterest est une mine de trésors, tu le sais, Lecteur/trice. Et si tu ne le sais pas, dis-toi que tu gagnes beaucoup, beaucoup de temps. Sur Pinterest, tu épingles pendant des heures du DIY que tu ne feras jamais, des recettes que tu ne cuisineras pas et des fringues que tu ne peux pas te payer, mais ça te rend heureuse. Va comprendre. Aujourd’hui, donc, je te présente la Fuck card que Pinterest a porté à ma vigilante attention. Oui, tu m’as bien lue. Et pour la peine, on expérimente une nouvelle page « Goodies » sur le site, depuis laquelle tu peux télécharger ta Fuck card version jpg ou pdf. Download, imprime, découpe, amuse-toi bien et raconte-moi, parce que je te l'assure, cette merveille de petite carte va transformer ta vie. Démonstration.
Option 1 – Tu es en chaleur/en pétard/en pleine déprime ? Exprime-toi grâce à la Fuck card ! Rentrant d’une dure journée de labeur, ton chéri trouve, plantée dans le mur avec une fléchette ou glissée dans une coupelle de Monchéri selon l’humeur, la Fuck card dûment cochée. Il sait ainsi s’il doit se désaper illico, ressortir t’acheter des fleurs ou se faire la malle pour ne pas revenir. La Fuck card, c’est bon pour ton couple.
Option 2 – Tu as organisé un dîner, tout est parfait, la musique, les roulés saucisse et les invités, mais entre les timides et les mal lunés, la sauce ne prend pas ? Qu’à cela ne tienne, anime ta soirée avec la Fuck card ! Déposes-en négligemment un petit tas sur la table basse et lance le jeu : chacun remplit sa carte, la planque, puis raconte sa journée en 1min chrono. Voyons si les invités devinent quelle case il a coché en fonction du niveau de sa journée. Tu peux même pimenter en remplaçant la narration par du mime, tu verras, ils en oublieront de manger. Pas de boire, par contre. La Fuck card, c’est bon pour tes amis, moins pour ton portefeuille.
Option 3 – Un repas de famille moribond ? Recycle la Fuck card ! Tout le monde est là, Tonton a son chapelet bien en main et Mamie pique déjà du nez, éclipse-toi donc deux minutes avec ton marqueur. Sous le « fuck », tu as juste la place pour transformer l’objet en charmant porte-nom. Ajoute un bouquet de stylos dans la corbeille à pain et laisse mijoter, tu devrais obtenir un certain succès quand chacun cherchera sa place : entre Tonton qui s’insurge, Mamie qui coche scrupuleusement « everybody » et tes cousins qui la prennent en photo, tu réduis le fossé entre les générations. La Fuck card, c’est bon pour ta famille.

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Colombe

24/1/2014

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        Colombe n’est pas une fan de mariages. Vraiment pas. Présentations, salutations, sourires crispés, jeux, karaokés et incontournables montages photo, temps qui s’étire et Macarena, mousseline et canapés, talons sadiques et populace imbibée, très peu pour elle, merci. Sauf que quand votre sœur se marie, se faire porter pâle devient un chouïa plus compliqué et que d’ailleurs, celle de Colombe l’avait promis, pas de jeux débiles, on allait rester classe. Réflexe idiot. Colombe lui a fait confiance.
        Elle a pris sur elle, serré les mains, signé le registre, pire, dédaigné le champagne pour mieux porter la traîne. La famille vaut bien toutes les privations, a dit sa mère, mais Colombe commençait à douter, salivant discrètement sur la traîne immaculée. Puis sa sœur a pris le micro, le marié a ramené un énorme carton et Colombe a carrément perdu la foi.
        Pimenter l’ambiance ? Comment ça, pimenter l’ambiance ? L’alcool coulait à flots et Tonton Jacques était en caleçon sur la balançoire, d’où ça sortait, pimenter l’ambiance ? Elle était malheureusement plus ou moins seule de cet avis, ou seule à jeun. La foule s’est ruée sur le carton.
        Casquettes à oreilles, hélices, casque distributeur de bière, les dignes costumes de cérémonie en ont pris un sacré coup et Colombe s’est dit que l’idée était authentiquement débile, mais qu’elle pourrait difficilement faire pire que sa mère, le brushing écrasé sous une corbeille à pain jurant terriblement avec sa robe Ralph Lauren.
        Et voilà. Voilà comment provoquer bêtement le destin et se retrouver en dernier devant le carton de chapeaux, la traîne toujours fichée entre deux doigts, un œil mortifié sur le dernier couvre-chef disponible. A savoir, des bois. Des bois maison, genre serre-tête et branchage, genre Bambi fait main, genre une fois plantés dans les cheveux, c’est à la vie à la mort. Genre what the fuck, sister.
        A peine le temps de couiner que sa frangine lui a planté l’immondice sur le bun, les pointes des branches profondément incrustées dans son joli chignon patiemment construit. Colombe a blasphémé, pour être honnête. Elle a gentiment prévenu la mariée qu’elle lui pourrirait sa lune de miel, expédié la traîne dans la poussière et tracé vers le champagne.
        Trois pas et elle éborgnait tata Jacotte, dix de plus, elle se coinçait la pointe dans la capeline de Simone, encore huit et elle embarquait le toupet de Christophe. Déjà, ça vous donne une idée de l’ambiance. Qui ne s’est pas améliorée lorsque voulant abandonner l’absurde coiffe, elle a réalisé ne pas pouvoir le faire sans un miroir et une pince à épiler, ses mèches emmêlées ayant d’ores et déjà formé dans les bois un joli treillage style toile d’araignée. Colombe a blasphémé de plus belle.
        Elle ruminait dans les bulles, l’honneur foulé et le cheveu traumatisé, lorsque l’inspiration lui est venue. Le châtiment se devait d’être exemplaire, autant commencer tout de suite. Après tout elle était demoiselle d’honneur, elle avait les clés de la suite nuptiale, oh la bonne idée ! Elle a vidé une deuxième coupe cul-sec, écarté d’une claque les cousins qui lui embrochaient des petits fours sur les bois et pris la direction du gîte d’un pas vengeur. La bave du crapaud n’atteint peut-être pas la blanche Colombe, mais la blanche Colombe est rancunière.
        C’est là que Papi, en costume bleu et antennes Télétubbies, l’a prise en photo. Et quand elle reverra la photo, plus tard, elle se dira que si c’était totalement incommode, elle n’avait pas si piètre allure que ça, menton pointé et hanche vengeresse, en chemin vers son destin, avec un rayon de couchant sur les bois.
        Malheureusement pour atteindre le gîte abritant la suite nuptiale, il fallait traverser le parc. Parc jonché, comme de nombreux parcs, d’arbres et de buissons. Colombe, avec ses escarpins Chloé pas du tout faits pour crapahuter dans un parc jonché d’arbres et de buissons, a patienté à peine trois cent mètres avant de planter un talon dans la glaise, de trébucher sur un tronc et de vaciller entre les feuilles.
        Pas tombée ! Même pas mal. Elle aurait pu voir la chute évitée comme un appel du destin mais les deux coupes de champagne cul-sec lui chatouillaient les neurones, faire demi-tour ne lui a même pas traversé le brouillard éthylique. Non, elle s’est plutôt penchée pour ramasser la clé de la suite nuptiale lâchée dans sa rencontre avec le tronc, et son destin a basculé.
        Vingt minutes qu’elle est là, au milieu du parc, tête en bas et fesses en l’air, les bois fichés dans un buisson épineux bien dense. Le buisson ne cède pas, les bois ne cèdent pas, si quelque chose doit céder, ce sera apparemment le scalp de Colombe et honnêtement, elle n’y tient pas. Elle n’a pas son portable, la nuit commence à tomber, elle a faim et vaguement mal au cœur, un peu peur de se vomir sur les Chloé, aussi, et elle commence à avoir mal au dos mais mon dieu, des pas, une voix ? Colombe se lâche, Colombe hurle. Le pote canon de son beau-frère tout frais débarque auprès de Colombe prosternée devant le buisson, avant d’exploser de rire et de repartir chercher un sécateur et un appareil photo. Karma is a bitch.

Les anciennes flashpics
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10 bonnes raisons…

20/1/2014

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        Bon. Ceux qui me connaissent un peu sont déjà morts de rire, sachant que j’ai tendance à me coucher très très tard pour me lever pas si tôt, mais je vous jure, j’aimerais vraiment réussir à être d’attaque aux aurores. C’est mon corps qui veut pas. Ou mon cerveau, ou peut-être les deux qui se liguent mais quoi qu’il en soit, aucun lien avec moi. Je dégage toute responsabilité quant à mes instincts de serial killer au petit déjeuner. La preuve, je lutte activement, je fais des listes.

…de se lever très tôt le matin

1)      Ça gagne du temps. C’est un fait, à moins de se coucher le soir à 19h pour compenser, ça rallonge la journée. Et plus tu as de temps, plus tu peux faire de choses passionnantes, comme te légumer devant « mon incroyable mariage gypsy », émission de télé réalité sur Vivolta ô combien enrichissante.
2)      C’est joli. Les oiseaux qui chantent, le jour qui se lève, la brume qui s’évanouit. Tu te sentirais presque virer mystique, voire religieuse, si tu n’étais pas encore en plein rêve torride incluant Ryan Reynolds et une table de cuisine.
3)      C’est tranquille. Si tu te débrouilles bien et ce, peu importe le nombre de squatteurs chez toi, tu peux prendre ton petit déjeuner seule, autrement dit sans avoir à molester à coups de cafetière un énergumène insistant pour discuter et/ou mastiquant ses tartines avec une grâce toute bovine.
4)      C’est inspirant. Ce calme absolu, ce fameux moment entre chien et loup, tu sens tes neurones qui vagabondent dans la prairie, tu es prête à écrire ton Ode au soleil sur la nappe de la cuisine avec la confiture de fraise.
5)      C’est reposant. Puisque la quasi-totalité de tes fonctions cérébrales sont restées sur l’oreiller, te voilà temporairement libérée de toutes tes muselières inconscientes. Tu es bien dans ton corps, tu te trouves futée et spirituelle, tu ne culpabilises de rien, tu es libre. Profite, ça ne durera pas.
6)      C’est économique. Quand tu allumes la lumière, tu es toujours en heure creuse. D’ailleurs puisque tu évolues les paupières encore soudées, parfois tu n’allumes même pas la lumière.
7)      C’est bon pour la santé. Il parait, en tous cas. Mais j’imagine que puisque tu as du temps, tu es plus encline à te bouger jusqu’à la salle de sport pour te muscler l’arrière-train, et que ça, c’est bon pour la santé.
8)      C’est zen. Avant les sonneries du téléphone, avant les hurlements des enfants, avant la liste de choses à faire, c'est toi face à toi-même, sans envie de meurtre et sans haine universelle. Sans cerveau, aussi, puisqu'il dort toujours.
9)      C’est classe. Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt, c’est bien connu, et c’est toujours mieux vu en société d’annoncer un lever quotidien avec le chant du coq qu’avec les coups du facteur contre la porte d’entrée.
10)   C’est un rêve. C’est bien d’avoir des buts dans la vie, même s’ils sont inatteignables puisqu’après quoi on court, quand on n’a plus rien à prouver ? Moi à 6h du matin, j'ai l'amabilité d'une hyène affamée en plein cycle menstruel et ce, que j'aie dormi quatre ou dix heures. J’ai plus de chances de me faire pousser des ailes que de me lever à 6h fraîche et dispose, les neurones au garde à vous. D'où une énorme marge de progression. 

Ps: si tu fais partie de ces étranges spécimens au taquet dès le matin, Lecteur/trice, explique-moi. Ça me dépasse.
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Et avant que j'oublie, envie d'un bon bouquin, quelqu'un? Si tu n'as pas eu l'occasion de lire La Boucle sur ce site, c'est drôle, c'est stressant, c'est touchant et c'est gratuit jusqu'à demain!
La Boucle sur Amazon
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Shitty old year

1/1/2014

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        Non, Lecteur/trice, je ne te souhaite aucunement un shitty old year, je me suis simplement dit que tu devais en avoir ras le brushing, des happy new year. Alors je dis au revoir à l'ancienne, avant de dire bonjour à la nouvelle année, parce que ça me donne l'impression d'être une rebelle. Ceci dit, maintenant que j'ai prouvé à quel point je suis une badass qui ne fait rien comme tout le monde (on appelle ça la méthode Coué, ou le pouvoir de l’auto-persuasion), évidemment, que je te mijote le meilleur pour 2014, ça va sans dire... Licornes, bisounours et arcs en ciel, tout le toutim avec des fraises Tagada en plus, tu l’auras compris, je ne souhaite que ton bonheur. 
        Et un peu, aussi, que tu continues à venir me voir de temps en temps sur ce site, à me faire part de ton opinion et/ou à prendre ton pied d’une façon ou d’une autre. Partager avec tous tes amis à quel point Mamzette c’est trop cool et qu’il faut absolument aller voir, c’est en option, mais très apprécié.
        Bref, en ce premier jour de cette nouvelle année pour l'instant pleine d’espoir (premier jour, j’ai dit, il ne m’est encore rien arrivé, même pas une petite gamelle de rien du tout), voici donc venu l’instant de découvrir de plus près les artistes présents dans les moodboards du mois de décembre. Tu les trouveras dans le post précédent. 
        Sinon, clique donc sur les jolies bulles ci-dessous et tu trouveras l'image dont je te raconterai l'histoire vendredi, ainsi que le premier moodboard de 2014, incarnant parfaitement tous mes vœux et toutes mes résolutions parce que voilà, moi, ce que j’ai retenu de 2013. Le rire est la clé de tout. Je ne développerai pas plus avant pareille évidence, Lecteur/trice. Tu le sais, je le sais, pourtant on l'oublie trop souvent, il arrive même, de temps en temps, qu'on oublie comment faire. Heureusement, c'est comme le vélo. C'est gravé dans la mémoire du muscle. La seule chose à faire, c'est de trouver un bon stimulant.
        Bonne année, Lecteur/trice, merci de ta présence ici, reviens vite et d'ici là, bonne digestion/gueule de bois, selon les cas. 
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La théorie du slip

30/12/2013

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        Lecteur/trice, l’heure est grave, 2013 se fait enfin la malle : demain soir, 2014 se pointe et ça, c’est une très bonne nouvelle. Place nette, table rase, nouveau départ, fuck les mauvais souvenirs et welcome le monde. Si toi aussi, tu souhaites mettre toutes les chances de ton côté et refiler à quelqu’un d’autre ton karma nauséabond de 2013, je me dois de partager avec toi ce petit truc que tu connais peut-être et qu’on m’a moi-même révélé en 2012 (merci Estelle) : la théorie du slip. Attention, ceci est un fait scientifique corroboré par de nombreuses études, malheureusement tenues secrètes.
        Alors voilà, Lecteur/trice : le 31 décembre à minuit, au moment de basculer dans la nouvelle année, fais bien attention à ta culotte. Si elle est rouge, tu trouveras l’amour l’année suivante. Si elle est dorée, tu trouveras la fortune.
        Ça déchire pas sa race, un truc pareil ? Franchement ? Moi l’an dernier, je pensais être gâtée côté rouge. J’ai donc confectionné de mes petites mains agiles une jolie culotte dorée et me voilà à minuit, fringante et clinquante, prête à accueillir les pluies de billets en 2013. En fait pour tout te dire, Lecteur/trice, ça a tellement bien marché que le destin a décidé de tout reprendre de zéro. Le rouge a viré au gris lavasse et je n’ai jamais vu le bout de la queue du doré, mais tout ça c’est provisoire : il fallait bien faire place nette pour l’arrivée de Ryan Reynolds. Ryan, sa gueule d’ange et son gros portefeuille, un Ryan tout rouge et or pour 2014, heureusement que j’ai déjoué les plans du destin, ça m’a permis de survivre à 2013.

        Si toi aussi, Lecteur/trice, tu as mis en pratique la théorie du slip et déjoué les plans tortueux de la vie, n’hésite pas à me le raconter, je me sentirai moins seule. En attendant, va choisir ton slip et tous mes vœux de bonheur pour 2014.
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Detox

25/12/2013

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      Cher Lecteur/trice, ça y est, c’est fini. Le père Noël nous a quittés jusqu’à l’année prochaine. Bilan ? Tu as testé les limites de ton estomac, affiché un sourire épanoui devant la paire de moufles-renne que t’a tricotées tatie Jeanne et fait exploser un alcootest en voulant vérifier ton degré de sobriété. Te voilà à présent affalé(e) dans le canapé du salon, songeant thé vert et piochant Ferrero, les boutons du jean à bout de nerfs et même que si tu avais le courage, tu irais enfiler un legging. Le livre dans ta main est presque aussi lourd que tes yeux, mais n’empêche, on t’a offert le it bag de tes rêves alors rien que pour ça, tu reprends un Ferrero en te disant « ce soir, c’est yaourt ». 
      Pas de bol. Tu te rends compte qu’il est déjà vingt heures. C’est l’heure de l’apéro, et c’est là que te frappe la question  du jour : est-ce-qu’un kir cassis, ça n’aiderait pas à digérer le champagne ? J’attends ton avis, Lecteur/trice. A quoi carbures-tu ce soir ? Moi je ne peux pas te le dire, c’est trop la honte.
      Ah, tant que j'y suis... l'image du Flashpic de vendredi? C'est ici.


Ok, ok, je te dis. Je me détox à l’Oasis tropical. Ouais, la honte.
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O Tannenbaum

23/12/2013

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        Lundi 23 décembre 2013, deux courants de pensée s’offrent à toi, Lecteur/trice :
        1) Demain c’est Noël, ça y est on y est, c’est déjà fini et c’est reparti comme en 40 sauf qu’il va faire froid et qu’il n’y aura plus de papa Noël à l’horizon et le printemps c’est pas avant des mois et dans une semaine c’est 2014 et qu’est-ce-que j’ai fait, moi, en 2013, hein ?
        2) OMG ça y est on y est c’est Nouel Motherfuckeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeer!!!
        Il y a des milliers de façons possibles de s'évader. Mais Noël, c’est quand même le Prozac de base, la coke inoffensive, la pensée positive à la portée de tous. Sors dans la rue, Lecteur/trice. Ecoute les chants de Noël dans les haut-parleurs, ricane devant les maisons illuminées avec la subtilité de Miley Cyrus en string, laisse le froid te piquer les joues jusqu’à te prouver que tu es en vie. Tu y penses encore, là, aux tâches grises de ta vie ? Tu ne sens pas les paillettes recouvrir le tout ?
        Alors oui, je sais. Les beaux-parents débarquent, tu n’as pas fini les paquets, y a plus de chapon chez Auchan, la guirlande électrique a court-circuité toute la maison et tu envisages de vendre un rein pour payer tout ça. Basses considérations matérielles que voilà ! Laisse-toi donc gagner par la magie du bonhomme en rouge, les gamins qui rêvent et le temps qui s’arrête.
        Choisis ton camp. Le verre à moitié vide ou le verre à moitié plein, puisque ce radin n’est jamais complètement plein. Moi c’est fait, j’ai monté ma tente sous le sapin, rempli la télé de films à la qualité douteuse dont le seul mérite est d’intégrer un personnage bedonnant en rouge et blanc, enfilé pull à pompons et chaussettes en moumoute, je suis dans les starting-blocks parce que c’est Nouel Motherfuckeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeer!!!


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Training days

18/12/2013

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      J-7...
      Papa Noël est en train de chromer son traîneau, les elfes repassent son costume et les rennes sont dans les starting-blocks. Dans une semaine jour pour jour, tu seras en train de te gaver de bûche et de foie gras avec Tonton Jacques et Mamie Ginette, toi qui ne rêveras que d’une chose, une tisane Détox et un yahourt 0%. Au calme. Parce que mine de rien, une semaine après, bam ! Réveillon. Régal des papilles et torture du corps. Pire, attention, à peine le temps de t’en remettre que les rois mages débarquent avec leurs caisses de frangipane. Alors prépare-toi, Lecteur/trice ! Préviens ton estomac, négocie avec ton foie, fais le plein de sommeil avant nuits blanches et gueules de bois, c’est ça, la magie de Noël. Tout est possible, y compris la régénération spontanée d’organes internes noyés sous le champagne.
      J-7...
      Tout est possible, ou on fait comme si, rien n’est grave, ou on fait semblant. Noël, ce n’est pas tant y croire que jouer le jeu. On efface l’ardoise et on repart de zéro, dans cette semaine en suspens entre deux fêtes (là, en principe, je me fais lyncher par tous ceux qui bossent dur entre le 25 et le 31), entre deux années, entre deux mini-jupes à paillettes, entre deux résolutions et trois prières à Bouddha. 
      J-7...
      Patience, Lecteur/trice ! Tu peux commencer à compter. A t'entraîner. Et à croiser les doigts pour qu’il fasse bien froid parce que chez moi, on prévoit de la pluie et qu’un Noël sous la pluie, c’est tout de même beaucoup moins magique qu’un Noël sous la neige (cette fois en principe, je me fais lyncher par tous ceux qui traînent actuellement leurs courses de Noël dans 40cm de neige par -20°C). 
      J-7...
      En attendant, je t’offre un nouveau moodboard tout bleu, histoire d’apaiser ton organisme avant la débauche gustative. Et je te fournis également deux clics magiques : ici, tu trouveras l’image à découvrir dans le Flashpic de vendredi. Et là, tu visiteras le joli site web de la marque Titlee,  des bijoux à mourir, délicats, élégants avec juste ce qu’il faut de régressif, des fois que tu n’aurais pas fini tes achats de Noël.
      J-7...
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Oh happy day

16/12/2013

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      Il y a des jours qui donnent envie de croire à la vie, comme si de temps en temps, le destin tentait de rattraper un peu ses boulettes. Genre je t’ai bien matraquée, maintenant regarde comme je suis mignon, œil humide et bouche en cœur. Tu restes, hein, dis ? Tu ne lâches pas, promis ? Salaud manipulateur, va. Parce que la plupart du temps, ça marche.
      Si toi aussi, Lecteur/trice, ce gros naze t’a doté d’un karma bien pourri en 2013, dis-toi que l’année touche à sa fin, d’une, et de deux, qu’aujourd’hui ou demain ou la semaine prochaine au pire, tu trouveras quelque chose qui vaut la peine. Une belle journée d’hiver bien froide sous un soleil de glace, une soirée au coin du feu avec ton chéri, une happy hour avec les potes, les vacances qui déboulent, une promo chez Zara, un bouquin qui bouleverse ou un mot, juste un mot d’un inconnu qui te redonne foi en l’espèce humaine. Oui, ça arrive. 
      C’est là tout le sadisme de la vie : rien n’est jamais tout noir ou tout blanc, ni complètement génial ni complètement pourri. A moins de t’appeler Blake Lively et d’être mariée à Ryan Reynolds mais Blake, si tu es là, sors. Il y a des limites à ce que je peux encaisser en 2013. Reviens en l’an prochain.
      Alors voilà, il fait beau, il fait froid, le thé est chaud et le clavier coopératif, Noël dans les chaussettes et la procrastination sans scrupules, moi aujourd’hui, j’y crois. Je voulais donc, Lecteur/trice, t’envoyer deux-trois bonnes ondes au cas où ce ne serait pas ton cas. Voici un moodboard tout doudou juste pour toi, et si ça ne fonctionne pas, que ta journée est toujours aussi pourrie et que d’ici ce soir, mes bonnes ondes ne t’ont toujours pas atteinte, tu sais ce qu’il te reste à faire. Apéro du lundi, oubli.
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Passé, présent, futur

9/12/2013

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      Lao Tseu*, qui était quand même un type hyper sage, a dit « Si vous êtes déprimé, c’est que vous vivez dans le passé. Si vous êtes anxieux, c’est que vous vivez dans le futur. Si vous êtes en paix, c’est que vous vivez dans le présent.» 
      La classe, hein. De quoi passer toute une vie à lutter contre soi-même puisque n’être ni anxieux ni déprimé, jamais, il faut être bonze pour y arriver. Moi je me dis que la moitié du temps, c’est déjà bien, parce qu'à se fixer des objectifs réalistes on a plus de chances de les atteindre. Je n’en dirai pas plus, Lecteur/trice, je te laisse méditer devant ton moodboard.


*Si ce Lao Tseu ne te dit rien qui vaille, va t'instruire ici
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