Mamzette
  • Home
  • Quezaco?
    • Le coin de l'introvertie
    • La bande-son
  • Read me
    • Flashpics
    • Raconte-moi un dicton
    • Les bonnes manières
    • Dépression mammaire >
      • J-45 . H-5
      • J-45 . H-4
      • J-44 . H-22
      • J-30 . H-6
      • J-2 . H-12
      • J-0 . H-3
      • J-0 . H-0
      • J-0 . H 3
      • J 1 . H 8
      • J 2 . H 10
      • J 9 . H 16
      • J 15 . H 15
      • J 16 . H 1
      • J 35 . H 11
      • J 60 . H 22
      • J 90 . H 8
      • J 120 . H 4
      • J 210 . H 0
    • La boucle
  • Moodboards
    • 2017
    • 2016
    • 2015
    • 2014
    • 2013
  • Fashion
  • Goodies
  • Contact
  • Blog

Aglaé

10/1/2014

2 Commentaires

 
Photo
        La fashion, la fashion… ça va deux minutes, la fashion. Mais y a quand même un moment dans la vie où on a besoin de pratique, de confort et où franchement la fashion, on s’en tamponne le coquillard, pardon Anna Wintour. Voilà plus ou moins où en est Aglaé, là maintenant tout de suite.
        Parce que dans la boutique, c’était trop la classe et Aglaé aime bien, avoir la classe. C’est qu’elle en a connu, du fashion faux pas, cette fois, elle allait assurer. La vendeuse le lui a garanti : elle était au top de la tendance. Pourquoi la vendeuse mentirait-elle ? Elle n’avait pas une tête à mentir, avec ses stilettos hors de prix. Et puisque c’était quand même son métier, le top de la tendance et le conseil client honnête et avisé, Aglaé n’a pas douté. Elle a raqué. 
        C’est dingue ce que ça peut coûter cher un morceau de plastique mais eh, que ne ferait-on pas pour faire bisquer les modeuses ? Elle cherchait une parka, elle est ressortie avec un imperméable. Mais qui tient chaud. Ah ça oui.
        Quand Clémence, sa copine toujours canonissime tirée à quatre épingles avec juste ce qu’il faut de négligé pour être sublime l’air de rien,  lui a proposé trois jours à Venise parce qu’elles n’allaient pas attendre un mec pour se payer un séjour de rêve, rapport à l’autonomie de la femme moderne, Aglaé a presque pleuré de gratitude. Non seulement elle allait prouver sa modernité, mais en plus, elle aurait enfin l’occasion de porter son imper top tendance. On prévoyait de la pluie, à Venise. Si ça, c’est pas le destin… Ni une ni deux, Aglaé a bouclé sa valisette, soigneusement plié son imper dans du papier de soie et roule ma poule, les deux célibataires en goguette à Venise. 
        Bon. Déjà, l’autonomie de la femme moderne, Aglaé l’a moyennement ressentie. Elle se sentait plutôt d’humeur à cramer les ponchos des exhibitionnistes et dieu sait que Venise en recèle, des exhibitionnistes. Si. Ça se tripote, ça se câline, ça se lèche le gosier dans tous les coins. Des couples partout, une honte. Si Mamie voyait ça, elle se ferait hara-kiri avec son crucifix. Heureusement, Aglaé est un poil plus moderne, elle s’est contentée de souffler ostensiblement et ça n’avait aucun, mais alors aucun rapport avec son célibat joyeux et assumé.
        Ensuite, ce n’est pas une averse qui leur est tombée sur le coin du brushing. Non, ce sont des trombes d’eau. Dès le début. L’euphorie d’Aglaé, autant vous l’avouer, n’a pas duré bien longtemps, imper top tendance ou pas puisque comme à la bonne époque des k-ways, ce machin lui a filé des suées au bout de quelques minutes de visite à peine. Errant dans les rues noyées genre même pas mal, même pas peur, elle a donc retiré l’imper et là, vraiment, elle se demande encore ce qui a bien pu lui passer par la tête. Comment n’a-t-elle pas établi la connexion pluie-eau-mouillé ? Toujours est-il que forcément, trois minutes trente, plus ou moins, ont suffi à transformer son petit pull rayé en serpillère informe, et c’est tous les poils hérissés par le froid, claquant des dents et le brushing dépité qu’elle a suivi Clémence dans un café. Un café plein de tourtereaux.
        Clémence, face à elle, radieuse, la mèche blonde délicatement rentrée sous une capuche légère, les cils joliment perlés de gouttelettes sur son mascara waterproof, le pull angora bien sec et manifestement pas du tout atteinte par l’orgie géante en place autour d’elle. Clémence qui appuie là où ça fait mal après une vingtaine de minutes à regarder dégouliner le pull rayé d’une Aglaé grelottante, affirmant qu’elle n’a plus le choix. Que l’hôtel est trop loin, si elles y retournent maintenant la journée est fichue. Que c’est ça, ou attraper la crève et rester clouée au lit le reste de leur court séjour, sans rien découvrir des charmes vénitiens. Que d’ailleurs c’est presque fait pour, il y a des morceaux blancs stratégiquement placés sur le plastique translucide, translucide, pas transparent, ça ne devrait pas trop se voir, pour le jean il n’y a que le bas de trempé, elle n’aura qu’à le rouler. Mais que quand même, où est-elle donc allée pêcher un imper pareil ? Dans le placard de sa grand-mère ?
        Aglaé n’a rien dit. Pas parce qu’elle ne voulait pas, mais parce qu’elle tremblait trop fort. Elle n’a pas non plus éclaté le joli nez de Clémence sur sa tasse de café. Elle s’est levée avec résignation, a renversé son chocolat chaud d’un grelottement intempestif mais on s’en tape, c’est imperméable, et est partie aux toilettes.
        Alors oui, ça tient chaud. Très chaud, pas un souffle d’air ne circule à l’intérieur, elle n’a plus froid, elle n’attrapera pas la mort, youpi. Elle est à Venise avec une gravure de mode, entourée de couples en pleine pâmoison, à poil sous un imper translucide, le jean remonté jusqu’aux genoux, son voisin de gauche tente de la regarder de profil pour apercevoir un téton, elle a dû se démaquiller au papier toilettes pour se débarrasser de l’effet raton laveur et ses cheveux ont séché avec la discipline d’un ado en pleine crise. Elle n’a jamais aussi heureuse, d’ailleurs dès son retour, elle va aller dans la boutique raconter à la vendeuse à quel point elle se sent épanouie. Elle va même lui faire la bise, à la vendeuse. Avec une chaise. Dans la tronche.

Photo
2 Commentaires

Coffee break

8/1/2014

0 Commentaires

 
        Cher Lecteur/trice, Garance Doré m’a piqué mon idée ( ou alors c'est qu'on est grave en phase, elle et moi ), et elle le dit mieux que moi (voir ici) mais tant pis, je t’explique quand même. Personne n’est plus méchant, plus injuste, plus exigeant avec nous-mêmes que notre saleté de cortex. Et quand il est borné comme le mien, il planque en plus entre deux plis une image bien précise de ce que devrait être ta vie, de ce que tu es censé être, faire, dire. Impossible de lui faire lâcher son fétiche, au ris-de-veau.
        Alors voilà. J’expérimente moi-même depuis quelque temps déjà la technique de la grève de pensée, que Garance a résumée en un seul mot magique : underthinking. Penser moins, mais penser mieux ! Moins de blabla, plus de vrai, moins de promesses, plus de vie, moins de prise de tête avec soi-même ou d’interrogations capitales sans fin au moment le moins opportun, en gros. Impossible de formuler la chose mieux que ça et toutes mes excuses aux pourfendeurs de franglais mais franchement, « sous-penser », ça le fait beaucoup moins.
        La technique du « qu’est-ce-que ça peut foutre » a quelque chose de diablement efficace, tant qu’utilisée avec modération. Pourquoi, plutôt que de s’affamer l’estime à la poursuite d’un fantasme, ne pas se calmer les neurones avec un doigt d’honneur, juste pour voir ? Moi je veux bien analyser, théoriser, décortiquer, mais seulement si ça en vaut la peine. Que la question posée engendre une réponse incluant jugement ou regret et je prends un livre*. Dans ta face, mon cortex ! Occupe-toi donc avec ça, tu parleras quand ça vaudra la peine, parce que m’obliger à me demander si je n’aurais pas mieux fait de me taire ou si je ne passe pas pour une quiche sachant que de toute façon c’est trop tard, non, ça ne vaut pas la peine.
        Bien entendu ça, c’est la théorie, et comme toutes les théories, ça ne marche pas à tous les coups. Mais rien que l’envie d’avoir envie, ça donne du jus aux idées et de l’air aux synapses. Underthink it, Lecteur/trice, ça te parle? Parce que tu n’es ni Mère Térésa ni Ryan Reynolds, tu n’es pas parfait(e) et c’est tant mieux. Détends-toi le neurone et noie tes pensées négatives dans un moodboard décaféiné.


* Marche aussi: surfer sur internet, regarder un film, écrire, dessiner, travailler, faire des listes , se raconter une histoire, choisir quoi porter le lendemain, se concentrer sur le visage de l'autre, compter ses grains de beauté, chanter intérieurement, tout ce qui exige assez de concentration pour dévier les pensées à la c** d'un cerveau masochiste . 
Photo
Pour la flashpic de vendredi... c'est ici
0 Commentaires

Chips addict

6/1/2014

0 Commentaires

 
        En France, littérature grand public signifie roman de gare, et ce n’est pas un compliment. Le livre doit être drame, remise en question et questionnement métaphysique, le livre doit perturber, choquer, remuer. En France, on valorise le foie gras et on méprise la chips, donc autant te le dire tout de go, Lecteur/trice fidèle ou de passage qui a lu ou envisage de lire le fruit de mes velléités littéraires : j’aime les chips.
        Et puis tout de même, le grand public, c’est lui qui les achète en masse, les livres. Et le grand public, quand il achève une journée de merde dans un job de merde, il n’a peut-être pas envie de se cogner les tribulations d’une orpheline cocaïnomane en prison, si ?
        Moi, non. Le monde est trop moche pour avoir envie de le lire. Vive la « feel good littérature », cette littérature grand public n’ayant d’autre prétention que de tirer rire et sourire. Happy end sans drama ne veut pas dire moindre qualité, à ma connaissance, même si je te l’accorde, Lecteur/trice, il existe un paquet de daubes dans la littérature grand public. Tout comme dans la littérature soutenue, le cinéma d’auteur ou tout art de haut niveau.
        Un livre-chips, c’est du plaisir, de l'oubli, et c'est déjà beaucoup. Ce n’est pas le texte qui libère les peuples et change le monde, mais c’est celui qui t’aide à avancer, toi. C’est le petit coup de pouce quand tu bloques, la tape dans le dos quand tu hésites. C’est l’ami qui t’écoute plutôt que le prof qui te fait la leçon. C’est l'ouvrage qui quand tu le refermes, te donne envie d’aller sonner chez ta voisine casse-bonbons, celle qui se douche tous les matins à cinq heures en beuglant sous la tuyauterie, pour lui savonner le dos. 
        Il y a des livres qui rendent heureux, tout simplement. Un de ces jours, je te préparerai une liste de mon top five et si tu as des propositions de lecture à me faire, je les accueille avec plaisir! En attendant, je prie le petit Jésus des auteurs* pour qu’il me rende capable de t’en écrire un comme ça avant de mourir, Lecteur/trice. Juste pour toi.

* Le petit Jésus des auteurs intellectuels s’appelle Jacques-Henri-Fulbert, il est fasciné par les drames et la glauquitude de la nature humaine. Le mien, celui des auteurs grand public, c’est Juju, il aime rire et faire des câlins, si possible les deux en même temps. Il est moins grandiloquent, mais beaucoup plus cool.
Photo
0 Commentaires

Leontine

3/1/2014

0 Commentaires

 
Photo
       Elle le sait, pourtant, que Phil a toujours des idées à la con. On ne peut pas s’appeler Philibert et avoir de bonnes idées, c’est mathématique, le défi est trop grand. C’est comme elle : depuis le temps qu’elle s’appelle Léontine, et on vous jure que s’appeler Léontine en 2013 c’est compliqué –ceci dit même en 1990, c’était déjà compliqué– elle sait que la poisse adore les gens comme elle. C’est trop tentant.
       Le réveillon, déjà, ça la gonflait. C’est qu’elle a beau persister, ses réveillons sont toujours pourris mais pourris genre classe internationale, genre rupture sous la boule à facette, intoxication alimentaire aux douze coups de minuit ou plan foireux avec de sublimes apollons incapables d’aligner trois mots. Léontine aime les mots, pas le choix, avec un prénom pareil.
       Pourtant quand Phil lui a fait promettre de venir, elle a dit oui, parce que c’est quand même flatteur qu’on vous supplie de venir à un réveillon, non ? Léontine est faible, Léontine aime qu’on l’aime, elle a dit oui, et c’est là que ce rat à iroquoise – oui, Philibert a une iroquoise, il lutte de toutes ses forces contre son prénom– lui a exposé le principe. Un réveillon costumé. Non mais franchement, qui fait encore des réveillons costumés ? Elle, elle voulait bien se costumer, mais avec sa nouvelle robe Proenza Schouler qui lui a coûté un bras et qu’elle comptait bien étrenner le soir du 31 pour emballer Juju. Pas t’inquiète ! A clamé Phil. Il avait l’idée du siècle, le costume qui tue, il s’occupait de tout et avec ça, Juju en boufferait sa barbiche. Faible, Léontine. Elle l’a cru, comme la quiche qu’elle est.
       Le concept était audacieux, c’est sûr. Original, aussi, il aurait même pu être carrément réussi à quelques détails près puisque tout de même, « la tête dans les nuages » c’est joli mais ce n’est pas un vrai déguisement. Pas de problème, a dit Phil. Tu te souviens de Sandy dans Grease ? Avec son pantalon en lycra noir ultra moulant et ses talons ? Ouais ? Ben on va mélanger les deux, ma vieille, tu vas devenir une putain d’œuvre d’art que tout le monde voudra sauter. Mais je veux pas passer pour une s**, a protesté Léontine. D’où les nuages, a répondu Phil. Les nuages, ça sera ta caution morale, ta ceinture de chasteté, le cul en lycra mais la tête dans les nuages, tu piges ?
       Léontine ne pigeait rien du tout. Mais Phil dirige une galerie d’art. On s’y connait un peu, quand on dirige une galerie d’art, non ? En tous cas, elle y a cru, et esthétiquement, elle a eu raison. C’est côté pratique que ça s’est un poil compliqué, et le temps qu’elle s’en rende compte c’était trop tard, les invités arrivaient et Phil la poussait hors de la chambre pour les accueillir. Dès le premier mur qu’elle s’est pris pleine face, elle s’est dit que la soirée allait être longue. C’est que Phil a pensé à tout sauf à lui ménager le champ de vision. Un détail. 
       Ah ça, elle a eu du succès. Coincée dans un angle de la pièce en tête à tête avec le ficus, condamnée à l’immobilité après s’être prix six mains aux fesses, avoir cassé trois verres, renversé quatre invités, embrassé deux murs et câliné le lampadaire, elle a lutté quarante-cinq minutes avant de réussir à faire passer une paille à travers le grillage utilisé par Phil pour faire tenir la ouate teintée des nuages. Ouais. Sans ça, elle aurait arraché ce machin depuis longtemps, elle n’est pas complètement demeurée. Mais Phil a créé d’une pièce une armature grillagée allant de la taille au sommet de son crâne. Si elle vire les nuages, elle passe le réveillon en petite tenue et lycra moulant, il ne lui reste donc plus qu’une solution : la cuite. Monumentale, histoire de ne pas se souvenir demain, mais à la paille c’est beaucoup moins facile.
       Puis aux cris avinés des gens normaux avec des costumes normaux, elle a deviné que minuit arrivait, et elle s’est dit que vraiment, dans le genre début d’année moisie, elle pourrait difficilement faire pire. Seule dans un coin, ridicule et même pas bourrée. Encore une année faste qu’elle se préparait là. Ouais. Elle avait pourtant tout bien prévu, tanga rouge et or à petits cœurs sous son lycra, de quoi se mijoter une nouvelle année aux petits oignons*, non ? A 19h, avant le déguisement, elle se disait que oui. A 21h, au huitième hématome, elle se disait que non. A 23h, au cinquième Mojito, elle décidait que si. A minuit, seule avec le ficus, elle lui expliquait que vraiment, non. A 00h15, quand on lui a glissé à l’oreille qu’on en pinçait pour elle, elle a choisi que si, avalé un nouveau Mojito à la paille et s’est persuadée que Juju se décidait enfin. A 1h30, quand Yassi lui a appris que Juju était reparti avant minuit, elle a enlacé le ficus et compris que la théorie du slip avait failli. 
       Alors voilà. Voilà pourquoi à 3h12, quand on réitère les mots doux dans son oreille grillagée –et désormais bien imbibée– elle décide que fuck it, 2014 sera ce qu’elle décidera que ce sera, et qu’elle en a ras-le-nuage. Ouais. Vas-y Léontine ! Fais péter l’orage ! Elle tâtonne donc jusqu’à empoigner la chemise de l’homme qui chuchote à l’oreille du cumulonimbus –plutôt contente que ce soit un homme, question de goût– et pousse jusqu’à rencontrer une porte. En chemin, elle embarque un rideau, écrase deux pieds et au son, casse probablement quelque chose. Devant elle, le corps se laisse embarquer en grognant à chaque collision, mais sans trop résister, tant mieux parce que Léontine est en mode tornade, elle tourne la poignée d’une main ouatée, referme et arrache d’un coup sec les rubans maintenant son nuage clos.
       Enfin, la lumière ! L’orage se dissipe. La cage tombe au sol et accessoirement, Léontine se sent beaucoup mieux en mode Sandy, dans toute la splendeur de son push-up en dentelle noire sur le lycra brillant, mais elle ne prend pas le temps d’y réfléchir. Elle attrape par la crête Phil et sa mine très embarrassée. Juste histoire de voir s’il était sérieux. Puisqu’il l’était, elle conclut que 2014 sera l’année de toutes les audaces, que la théorie du slip est en fait infaillible, qu’elle a trop bu pour être sage et que de toute façon, sa caution morale gît sur le tapis. Elle enjambe Philibert.
 

*Pour ceux/celles qui n’ont pas suivi la théorie du slip, c’est ici

Photo
0 Commentaires

Shitty old year

1/1/2014

0 Commentaires

 
        Non, Lecteur/trice, je ne te souhaite aucunement un shitty old year, je me suis simplement dit que tu devais en avoir ras le brushing, des happy new year. Alors je dis au revoir à l'ancienne, avant de dire bonjour à la nouvelle année, parce que ça me donne l'impression d'être une rebelle. Ceci dit, maintenant que j'ai prouvé à quel point je suis une badass qui ne fait rien comme tout le monde (on appelle ça la méthode Coué, ou le pouvoir de l’auto-persuasion), évidemment, que je te mijote le meilleur pour 2014, ça va sans dire... Licornes, bisounours et arcs en ciel, tout le toutim avec des fraises Tagada en plus, tu l’auras compris, je ne souhaite que ton bonheur. 
        Et un peu, aussi, que tu continues à venir me voir de temps en temps sur ce site, à me faire part de ton opinion et/ou à prendre ton pied d’une façon ou d’une autre. Partager avec tous tes amis à quel point Mamzette c’est trop cool et qu’il faut absolument aller voir, c’est en option, mais très apprécié.
        Bref, en ce premier jour de cette nouvelle année pour l'instant pleine d’espoir (premier jour, j’ai dit, il ne m’est encore rien arrivé, même pas une petite gamelle de rien du tout), voici donc venu l’instant de découvrir de plus près les artistes présents dans les moodboards du mois de décembre. Tu les trouveras dans le post précédent. 
        Sinon, clique donc sur les jolies bulles ci-dessous et tu trouveras l'image dont je te raconterai l'histoire vendredi, ainsi que le premier moodboard de 2014, incarnant parfaitement tous mes vœux et toutes mes résolutions parce que voilà, moi, ce que j’ai retenu de 2013. Le rire est la clé de tout. Je ne développerai pas plus avant pareille évidence, Lecteur/trice. Tu le sais, je le sais, pourtant on l'oublie trop souvent, il arrive même, de temps en temps, qu'on oublie comment faire. Heureusement, c'est comme le vélo. C'est gravé dans la mémoire du muscle. La seule chose à faire, c'est de trouver un bon stimulant.
        Bonne année, Lecteur/trice, merci de ta présence ici, reviens vite et d'ici là, bonne digestion/gueule de bois, selon les cas. 
Photo
Photo
0 Commentaires

Who is it - Décembre 013

1/1/2014

0 Commentaires

 
Les héros de décembre, ou toute une tripotée de gens très talentueux ainsi que deux blogs mode que j'adore (si tu t'ennuies, Lecteur/trice, tu peux chercher les fashionistas de ces blogs dans les moodboards...)www.le-happy.com
www.jaglever.com
Photo
Laurie Maitland
Tobacco and Chocolate II
www.lauriemaitland.com
Photo
Zapon aka Wacharapong 
M!aw
www.threadless.com/profile
Photo
Chad Wys
Blue bomb
chadwys.com/works
Photo
Josep Moncada
Un fragmento de piel acariciada, besada, recorrida...
www.josepmoncada.com
Photo
Cheyenne illustration 
Couv pour WAS magazine
cargocollective.com/cheyenneillustration
Photo
Andreas Preis
Alive
http://www.designerpreis.com
Photo
Oriol Angrill Jordà
Cloudy eye
www.oriolangrill.com/
Photo
Sscindyss
Little Red in Dark Blue
sscindyss.deviantart.com
Photo
Adara Sánchez Anguiano
Dots.
cargocollective.com/adara
Photo
Walney Martins A.K.A Negritoo
Sketchbook project 
negritoo.wordpress.com
Photo
Woodland papercuts
Winter fashion
www.woodlandpapercuts.com
Photo
Inconnu
0 Commentaires
Transférer>>
    Photo
    Photo
    RSS
    Hellocoton
    Feedly
    Facebook
    Twitter
    Google +
    Instagram
    Behance
    Photo
    Photo
    Photo

    Archives

    Mars 2018
    Octobre 2017
    Août 2017
    Juin 2017
    Mai 2017
    Mars 2017
    Février 2017
    Décembre 2016
    Novembre 2016
    Septembre 2016
    Juin 2016
    Mai 2016
    Avril 2016
    Mars 2016
    Février 2016
    Janvier 2016
    Décembre 2015
    Novembre 2015
    Octobre 2015
    Septembre 2015
    Août 2015
    Juillet 2015
    Juin 2015
    Mai 2015
    Avril 2015
    Mars 2015
    Février 2015
    Janvier 2015
    Décembre 2014
    Novembre 2014
    Octobre 2014
    Septembre 2014
    Août 2014
    Juillet 2014
    Juin 2014
    Mai 2014
    Avril 2014
    Mars 2014
    Février 2014
    Janvier 2014
    Décembre 2013
    Novembre 2013
    Octobre 2013
    Septembre 2013

    Photo

    Categories

    Tout
    10 Bonnes Raisons De...
    90
    Art
    Art De Vivre
    Barbie
    Beauté
    Bonne Manieres
    Bonne Manieres
    Business
    Depression Mammaire
    Dictons
    En Vrac
    Fetes
    Fetes
    Flashpics
    Fuck
    Goodies
    Hair
    Happy
    Inspirations
    Joyeux Boxon
    La Boucle
    La Vie En Rose
    La Vie En Rose
    Lecture
    Les 10...
    Liebster Awards
    Litterature
    Love Etc
    Mamzette
    Mode
    Moodboard
    No Post
    Places
    Quand Le Clavier Dérape
    Raconte Moi La Mode
    Robert Le Neurone
    Saison
    Vidéo
    Zik

    Photo
Photo
  • Home
  • Quezaco?
    • Le coin de l'introvertie
    • La bande-son
  • Read me
    • Flashpics
    • Raconte-moi un dicton
    • Les bonnes manières
    • Dépression mammaire >
      • J-45 . H-5
      • J-45 . H-4
      • J-44 . H-22
      • J-30 . H-6
      • J-2 . H-12
      • J-0 . H-3
      • J-0 . H-0
      • J-0 . H 3
      • J 1 . H 8
      • J 2 . H 10
      • J 9 . H 16
      • J 15 . H 15
      • J 16 . H 1
      • J 35 . H 11
      • J 60 . H 22
      • J 90 . H 8
      • J 120 . H 4
      • J 210 . H 0
    • La boucle
  • Moodboards
    • 2017
    • 2016
    • 2015
    • 2014
    • 2013
  • Fashion
  • Goodies
  • Contact
  • Blog